Ian Lietuva [Finished =D]

Spoiler:

Prénom : Ian (Ivan, Toris)

Nom : Lietuva

Age :17

Sexe : Je pense que ça se devine aisément x)

Nationalité : Russe

Pouvoir : Eau.

Rang : Noble

Métier : Etudiant

Orientation Sexuelle : ♂♂

Histoire : Ian est le fils d'un des architectes à l'origine des îles artificielles si cotées qui commencent à apparaître au-dessus des flots. Quand son père s'est retrouvé anobli, il a bien entendu hérité du titre.
Né un beau matin d'Avril, il n'y a pas tellement de choses à raconter sur son enfance, oh non. Il était un gosse de riche, ni heureux ni malheureux. Ses parents travaillaient beaucoup, mais ça l'indifférait quelque peu. Il ne s'était pas pour autant rapproché de ses nourrices. A vrai dire, Ian ne s'est jamais vraiment attaché à quelqu'un de toute son enfance. Pour certains, cela sera assimilé à la froideur des gamins élevés sont une idée d'aristocratie, de supériorité ; pour d'autres une demande d'affection masquée sous une indifférence totale.

La vérité était que Ian se sentait tout à fait... En décalage. Un peu vide, un peu tordu. L'étrange impression d'aller de travers, même si rien ne sortait du cadre fixé par cette nouvelle noblesse à laquelle il n'avait aucune conscience d'appartenir. On pourrait croire que cela vient du fait qu'il est albinos, mais pas du tout. En fait, depuis tout petit il adore ses cheveux blancs et ses vifs yeux rouges sang. %ais malgré le fait qu'il soit en harmonie avec son corps, il n'était pas à l'aise, nulle part. Très tôt, Ian tenta de se débarrasser de cette impression si désagréable, qui lui collait comme une seconde peau, en se plongeant dans les livres, comme tant d'enfants. Sauf que lui se découvrait une passion pour les langues. A 6 ans, il s'était avéré qu'il avait appris à lire et à écrire tout seul en alphabet cyrillique. L'école lui était donc devenue un peu inutile, et il sauta deux classes. Une fois dans une classe à son niveau, il avait eu accès à des sources d'information plus complexes, pouvant se livrer à son exploration linguistique à sa guise. Bien sûr, le Russe était sa langue natale ; mais il apprit naturellement l'Anglais, en écoutant ses parents au téléphone ; avec la montée des eaux, c'étaient des gens du monde entier qui avaient besoin de survivre, et en architecte de premier plan, son père conversait beaucoup pour son travail, et en Anglais. Ian l'écoutait, et avec quelques livres de grammaire de base, il apprit la langue parfaitement. Vers 12-13 ans, sa nouvelle lubie fut le Français.

Sauter des classes, ce n'était pas vraiment idéal pour l'intégration. Et déjà qu'à la base, Ian n'était pas un enfant vraiment sociable... Et puis, chose à peu près "normale", son albinisme effrayait quelque peu les autres enfants. Son malaise intérieur s'était affiné, précisé, et en gagnant en maturité, avait identifié ce dérangement comme un... Un manque. Pas vraiment affectif, ni personnel, ni rien. Il continuait à se passionner pour la linguistique, dévorant des bouquins entiers de grammaire et de vocabulaire, alors que les autres enfants jouaient au foot ou à se chamailler. Cet intellectualisme participait à sa mise à l'écart ; un albinos premier de la classe sans rien faire, que les profs adulaient, n'était pas le bienvenu. Mais Ian s'en moquait éperdument, de tout ça. Il était bien, seul. Et ce n'était pas le fait d'être coupé du monde qui l'empêchait de s'amuser. Chez lui, il s'était découvert un autre passe-temps palpitant. Il embarquait de l'eau dans sa chambres ; des tasses, des bols, des verres, des seaux, autant que possible ; l'aspergeait sur ses murs et, en l'effleurant du bout de ses doigts, en faisait de la glace. Au lieu de devenir une goutte qui tombait inutilement au sol, la langue gelée suivait ses gestes, et ainsi il redécorait les murs de sa chambre. Arabesques glacés dansaient sur les meubles, caressaient le plafond, avant de fondre tout doucement. Ian ignorait si quelqu'un chez lui était courant de ce "hobby", ni s'il était le seul à pouvoir le faire, et ça ne l'intéressait pas de le savoir. Bref,tout ça pour dire qu'en grandissant, Ian resta un gamin isolé et heureux dans sa bulle.

Il rencontra Ludwig l'été de ses quinze ans. Ian sortait des cours, pour aller, je vous le donne en mille, chercher un bouquin à la bibliothèque. Langue du moment? Japonais. Oh, il avait bien grandi, pour sûr. Lui qui avait été un garçon plutôt frêle avait pris du muscle, gagnant avec la pleine adolescence un corps tout à fait respectable. Son look s'était aussi défini. Il portait une passion pour les vêtements au style un peu militaire, blazers, vestes à gros boutons d'argent, casquette... Dans un magasin d'antiquités, il avait récupéré une casquette noire d'origine allemande [voir "autres infos"], qu'il portait tout le temps sur ses cheveux blancs. Il mixait les chemises et les pantalons à motifs écossais, vous voyez le genre, un peu punk sur les bords. La lueur sanguine de ses yeux avait elle aussi changé : plus dure, perçante que jamais. Et il avait gagné un sourire de prédateur à faire tomber presque n'importe qui. Ian avait aussi changé d'attitude vis-à-vis des cours... Au revoir l'élève studieux et réservé, bonjour le fouteur de merde classique, se faisant toujours viré du lycée ; mais avec des notes toujours au-dessus de 15 partout, s'il vous plait. Mais ce comportement plus "normal" qu'avant n'avait pas pour autant arranger son côté asocial. Bien au contraire. Ian en était venu à mépriser les gens, virant agoraphobe. Il s'en était rendu compte du jour au lendemain, comme une évidence qui lui aurait toujours échappée : il ne supportait pas les autres. Et pourtant, comble du comble, il avait dégotté un petit job en tant que mannequin. Un mannequin albinos, ben voyons, soyons fous! Un autre plaisir s'était ajouté à ses "loisirs" : parler en russe à absolument tout le monde. C'est une langue très peu parlée, non? Alors pour lui c'était un plaisir d'insulter les gens en russe. Et quand il rencontrait quelqu'un qui avait des notions, il lui disait n'importe quoi. Ian n'était pas devenu méchant, ou stupide ; il était juste d'un cynisme glacial, et s'ennuyait souvent. De même, il s'était façonné une image publique. Jouant l'arrogance, draguant les rares filles qui osaient l'approcher plutôt que de glousser dans son dos, tout en crachant sur le nom de la race humaine au plus profond de son âme. Contradictoire, dites-vous? Certes.

Bref. C'était après les cours, en allant à la bibliothèque, qu'il avait croisé Ludwig. Un peu plus grand que lui, les cheveux d'un blond pur, et des yeux bleus à s'en damner. Son cœur en avait loupé un battement, et tandis que ce blond le fixait avec curiosité, il avait foncé en grinçant des dents, coupant court à cette poussée de philanthropie. Fissa, à la bibliothèque, болван. Le nez dans le rayon des bouquins linguistiques, quelle ne fut sa surprise lorsqu'une main se posa sur son épaule. Ian se retourna en sifflant comme un chat enragé, ses yeux sanglants bouillant de rage. Pour se retrouver nez à nez avec le blondinet qui était devant lui. Il était vraiment plus grand que lui, en fait, plus qu'il ne l'avait imaginé. Une vague de chaleur lui monta aux joues, et Ian se gifla mentalement, dardant ses prunelles étincelantes dans l'azur de l'autre... Qui lui demanda dans un russe parfait où se trouvaient les bouquins d'histoire. Ian écarquilla les yeux. Il parlait russe, celui-là? Et pourquoi diable lui parlait-il en russe? L'albinos reprit contenance avec une moue renfrognée qui fit rire l'autre. Nan mais en plus il se foutait de sa gueule?! La réponse ne se fit pas attendre et, crachant au sol, le russe tourna les talons, rajustant sa casquette sur son front. Mais déjà une main enserrait son poignet, et il virevoltait pour répondre à son agresseur. Et pourtant, il n'en eut pas le temps, que le blond s'emparait de sa casquette et l'admirait. Ian se mit à brailler en russe en lui arrachant des mains, la recalant sur sa tête, vif comme un félin. Il allait lui asséner un coup, premier sans doute d'un épique combat, lorsque l'autre s'excusa. L'albinos cilla, surpris. Et l'autre de lui raconter qu'il était allemand, et qu'il n'avait jamais vu une casquette de cette époque en vrai. Et d'offrir au russe un sourire étincelant. Nouveau salto dans le cœur de Ian qui, ayant envie de s'étriper lui-même de sombrer dans les méandres les plus honteux de l'âme humaine, suivait ce qu'il se verrait bientôt contraint et forcé d'appeler son coup de foudre.

Ludwig. Ludwig Edelstein. Allemand d'origine, 19 ans. Son père était un banquier plutôt aisé sur l'île. Jusque là, ça allait. Mais Ludwig était aussi passionné par l'histoire de ses ancêtres que Ian l'était des langues vivantes. Le russe l'avait suivi sans broncher, docile comme un chat qui suivrait son maître, et il se détestait pour cela. Pourquoi suivre un mec louche qu'il ne connaissait pas? Bonne question. Son instinct l'y poussait. Et quelles merveilles il découvrit, en faisant conscience à ses restes d'animalité latente! Ludwig détenait dans son grenier de pures merveilles. Lui-même portait une veste militaire noire tout à fait sublime [voir "autres infos"], qu'il n'avait pas remarqué aussitôt. Peintures, journaux de soldats, vêtements d'officiers en parfait état. Une véritable mine d'or. La petite visite dura près d'une heure, mais Ian n'ouvra pas une seule fois la bouche, si ce n'est pour un да tout à fait insignifiant. Oh, non pas qu'il n'était pas à l'aise, au contraire. Un vague sentiment de plénitude avait calmé son tempérament nerveux, et sans pour autant baisser sa garde, il était plutôt détendu. n'empêche, il se demandait bien ce qu'il foutait là... Certes, il voyait des trésors d'une valeur inestimables, dont certains remontaient au XVIIème siècle... Mais bon, lui son cheval de bataille, c'était la langue vivante, pas l'histoire de l'Allemagne et de son ancêtre Prusse. Certes, il admettait volontiers se découvrir ici un nouvel intérêt ; notamment ce pays mort et enterré, la Prusse, au beau drapeau noir et blanc, à son emblème, la croix teutonique, qu'il trouvait superbe sans trop savoir pourquoi. D'ailleurs, Ludwig en portait une autour du cou. La Prusse, pays guerrier, parfois vaincu mais qui se relevait toujours. Un peu comme sa Russie, qu'il n'avait pourtant connu que dans les livres... Sa Russie des Tsars, son Empire rouge, sa Russie qui reprenait des forces après chaque échec. Il laissa Ludwig le raccompagnait jusque chez lui, encore une fois sans savoir pourquoi il acceptait. Bon sang, Ian se serait frappé de se montrer obéissant, comme un vulgaire mouton. Il se promettait une bonne séance d'auto-flagellation mentale une fois chez lui, lorsqu'il remarqua qu'il était arrivé devant chez lui. Le temps de se retourner pour maugréer à Ludwig que leur chemin s'arrêtait ici, que ses hanches se retrouvèrent encerclées et ses lèvres capturées. Sous l'effet de surprise, Ian écarquilla les yeux, totalement immobile, figé autant qu'un macchabée. Quelqu'un avait arrêté le temps, car il eut l'impression de vraiment devenir statue, seule pensée claire qui lui traversa l'esprit. Puis Ludwig s'écarta avec un petit sourire et, sans un mot, sortit de sa poche une croix teutonique identique à la sienne, ainsi qu'une fine chaîne en argent. Il passa le tout au cou de Ian, avant de faire demi-tour en lui rabattant sa casquette sur les yeux.

Que dire ensuite... Comme vous pouvez le deviner, Ian était stupidement retourné chez l'allemand le lendemain, puis le sur-lendemain. Le sur-sur-lendemain, Ludwig était venu le chercher directement après les cours, l'embrassant sans vergogne devant, hmm, une bonne trentaine d'autres élèves. Si le choc avait perduré le premier jour, Ian se laissait à présent totalement faire. Il allait même jusqu'à provoquer ces baisers, en plus d'y répondre. Pourquoi donc notre petit chat albinos s'était-il laissé apprivoiser en quelques heures? C'est simple. Son malaise. Il avait tout simplement disparu lorsque Ludwig l'avait embrassé, la première fois. Oui, il avait trouvé ce qui lui avait manqué pendant 15 ans ; son âme. S'il ne pouvait supporter la race humaine sans éprouver dégoût et mépris, c'était qu'une grande partie de son être sommeillait, attendant son grand réveil. Ludwig avait son âme, tout simplement. Il devint donc tout à fait naturel à Ian de l'appeler моя Душа. Il apprit que Ludwig était à la fois son contraire et son double parfait. Plutôt bavard, extraverti, mais peureux et sans aucune confiance en lui. Ils se complétaient, ajustant leurs forces et leurs faiblesses. Il est assez superflu de détailler leur idylle. Prétextant des cours d'allemand particuliers, il passait l'essentiel de ses soirées chez son blond. Il aimait cette langue un peu dure, claquante comme un coup de fouet, et qui de mieux que Ludwig pour la lui enseigner? Ils ne vivaient pas une romance passionnée et bruyante, loin de là. Ian parlait très peu. Il s'exprimait avec le corps, avec les yeux. Et cela leur suffisait à tous les deux. Pas besoin de grandes phrases romantiques trop répétées. Les люблю тебя de Ian s'exprimaient par ses yeux de sang. Ludwig n'avait qu'à l'effleurer d'une caresse, l'embrasser ou juste lui adresser un coup d'œil lorsqu'il parlait, alors que le russe était affalé par terre la tête sur ses genoux. Les croix à leurs cous étaient la métaphore parfaite de leur relation ; deux êtres qui certes peuvent se passer l'un de l'autre, mais ne font que survivre dans une froideur monotone. L'allemand possédait une autre antiquité, qu'il avait légué au russe : une boîte carrée marchant au solaire, contenant de la musique, ainsi qu'un casque obsolète datant des années 2000. Ils l'écoutaient souvent, l'un contre l'autre, à croire que chaque phrase était écrite pour eux. Ludwig lui avait offert son manteau, son superbe manteau noir d'officier, pour ses 16 ans, et l'albinos en était resté de longues minutes à pleurer. Son deuxième cadeau avait été la perte de sa virginité.

Ian apprit la mort de Ludwig par sa famille. Une nuit, il reçut un coup de fil. La mère de son amant était en larmes, balbutiant en allemand qu'il devait la rejoindre de suite. Aussitôt dit, aussitôt fait, le temps d'enfiler la veste noire encore toute pleine du parfum de Ludwig, et il avait filé. Un assassinat. Deux petits trous dans sa nuque, vidé de son sang. Une victime de plus de la vague de meurtres qui ravageait l'île en ce moment. Son Ludwig, sa moitié, son âme, son contraire parfait avait relâché dans une ruelle un chat transi de froid. On avait retrouvé son pendentif fissuré et couvert de sang. Bien entendu, Ian l'avait prit avec lui, et l'a toujours sur lui. La nuit de la mort de Ludwig, ses yeux presque phosphorescents tant les larmes rendaient ses yeux brillants, il avait déchiré la doublure de la veste d'officier, et avait cousu à l'intérieur, au niveau du cœur, la croix de l'allemand. Puis il avait recousu, scellant son âme dans ce bout d'argent. Et depuis, comment dire... Ian est redevenu une enveloppe froide et cynique, jouant l'arrogance pour garder sa salive. Il couche, de ci de là, cherchant en vain la chaleur que Ludwig avait su lui prodiguer... En vain, bien sûr. Aujourd'hui, il rentre à l'Academy Mystery, la tête froide et l'âme morte.

Description Physique : Ian mesure à peu près 1m83 pour, eh bien, 59 kilos. Oui, c'est une crevette. Mais pourtant, il est plutôt musclé, notamment au niveau du torse, qui est bien dessiné, tout comme ses abdos. Il est albinos ; ses cheveux sont blancs, ses yeux d'un rouge sang assez étrange et dérangeant si on a pas l'habitude. D'autant plus qu'il les rend le plus perçants possible, histoire d'éviter qu'on l'aborde. Ses traits sont assez fins, réguliers. Côté style, il porte toujours une casquette militaire noire ainsi qu'une veste d'uniforme d'officier, noir également. Il mixe ça avec un peu n'importe quoi, un peu punk sur les bords. Il porte des paramilitaires coquées au pieds. Déjà parce que ça en impose, et aussi parce que ça fait du bruit quand il marche, et croyez-le ou pas mais ça l'éclate. Il est percé à la nuque, et tatoué ; une croix teutonique sur le dos de la main gauche. Il dégage une sorte de grâce féline naturelle, ce qui lui donne une allure assez caractéristique.

Description Morale : Ian déteste la proximité d'une masse. Que dis-je, ça le rend malade. Agoraphobe sur les bords, il a tendance à fuir le contact humain. Il passe sa vie avec son casque et son mp3 (car oui, apparemment cette vieillerie s'appelle comme ça). Pour éviter les approches, il se cache derrière une attitude arrogante, un sourire de fauve et ses yeux hypnotiques. Tout ça pour dissimuler le malaise qui lui prend la gorge lorsqu'il est confronté aux autres. A la moindre agression, il se laisse gagner par la colère et n'hésite pas à attaquer en premier.

Il se sent souvent "vide". Sans aucune émotion, inexpressif. Il en perd sa fausse vanité, se réfugiant encore une fois dans la musique. Ces blancs peuvent durer quelques secondes, comme plusieurs jours. Ils sont totalement intempestifs et imprévisibles. Dans ces moments-là, c'est comme s'il perdait son identité. Il a beau sentir sa croix contre torse (ou son cou, selon s'il la porte sur sa cravate ou à même sa peau), murmurer une chanson qu'il connaît par cœur, il a l'impression de ne plus se connaître. Ne nous leurrons pas, ces passages à vide le terrifient.

A l'inverse, il lui arrive de péter les plombs. Quand il a été baigné trop longtemps dans une foule, quand il sort d'une période de stress ou de colère intense, il "explose" et cela se sent. Alcool, sexe, conneries solitaires, tout est dépend pour oublier la réalité et créer la sienne. Ces débordements peuvent être drôles comme dangereux, mais ils lui sont nécessaires. En fait, c'est de l'auto-défense. Ian est du genre à tout garder pour lui (de toute façon, comment faire autrement, il refuse toute vie sociale prolongée...), et il a le choix entre libérer la tension ou se laisser pourrir de l'intérieur.

Je pense qu'il est intéressant de noter une chose, chez Ian ; sa vie sexuelle est pour le moins surprenante, quand on connaît son caractère. Il a besoin et/ou envie de sexe lorsqu'il laisse déborder le trop-plein de tension, comme dit plus haut. Mais une fois au lit, il change du tout au tout. Comment dire, il refuse toute liaison un tant soit peu sérieuse, pas plus de 3 fois avec le même homme, c'est son credo. Mais pendant l'acte même, il s'implique naturellement, se donne à fond pour ainsi dire. Cela lui fait du bien. Ian a besoin de contact humain, même s'il le nie, et c'est au lit qu'il trouve un semblant de chaleur. Mais j'insiste bien : ce n'est pas parce qu'il se montre très tendre lorsqu'il couche qu'il tient à son partenaire, bien au contraire. Il est du genre à se barrer le matin, aux aurores.

Si par miracle il s'attachait à quelqu'un, rappelons aussi qu'il n'est pas du tout bavard. Il parle essentiellement avec ses yeux, avec ses mains. De toute façon, quand il ouvre la bouche, c'est en russe 8 fois sur 10,donc il faut déjà comprendre ce qu'il dit. Mais il est d'une fidélité irréprochable, impulsif et instinctif. Attention néanmoins à la jalousie, à ses sautes d'humeur qui peuvent se révéler terribles.

Vis-à-vis des cours, il garde la même attitude : pas insolent ni rien, mais il ne fait absolument rien. Et obtient des notes extraordinaires. Pourtant, il n'a pas le comportement habituel des surdoués ; ou peut-être si? Les jeux de logique, la réflexion l'énervent en quelques minutes. Il est impatient, et s'il sent qu'il n'apprendra rien d'intéressant, il sèche. Il parle actuellement russe, anglais, français, japonais et allemand. En ce moment même, il apprend le lituanien.

Autre(s) Infos : Petites explications qui aideront peut-être à bien tout comprendre^^
Lietuva = Lituanie en... Lituanien. J'aurais du lui donner un nom russe, mais j'adore la sonorité de ce mot, et ça reste dans les tons slaves.
болван (se prononce "bolvan") : abruti x)
да (se prononce "da") : oui
моя Душа (se prononce "moia doucha") : mon âme
люблю тебя (se prononce "lioubliou tibia") : je t'aime
Croix teutonique = en aucun cas un symbole nazi ou je ne sais quoi! C'est l'emblème des Chevaliers teutoniques, un ordre à l'origine de la création du Royaume de Prusse, qui est ensuite devenue l'Allemagne. Les Chevaliers teutoniques sont aussi les créateurs du drapeau prussien : noir et blanc, avec un aigle à deux têtes. (Ici encore nous constatons l'originalité hitlérienne, adepte du vol de symboles d'autres cultures...--')
Veste & casquette :

Spoiler:

Imaginez la casquette en noir =P

Code :Caramel

Les descriptions physiques&morales sont plutôt courtes, j'en conviens, mais je n'avais plus beaucoup d'inspiration et je trouve que son histoire avec Ludwig est une excellente illustration de sa personnalité ><'
Aussi, ma signature&mon avatar sont en décalage avec les images que j'ai mises de lui dans ce post. C'est exactement le même personnage (Gilbert, ou la Prusse, dans Axis Power Hetalia). Mais je trouvais que le style réaliste de ma signature convenait parfaitement au personnage. J'ai mis les autres pour que vous ayez une meilleure idée de ce à quoi il ressemble^^

Bonjour et bienvenu, bon, je te valide (c'est une bien belle présentation) par contre, je trouve ton avatar trop large et ta signature trop grande ^^' enfin, je compte sur toi pour me revoir ces petits détails là.

C'est fait =)

Gaaah ! J'aime ton ava (un de mes persos pref d'APH )
Ton histoire est longue mais j'ai eu du plaisir à la lire donc je te pardonne *amen*

J'aime beaucoup ton perso, bienvenue parmi nouww !

PS : n'écoute pas la vieille Hifu, elle est sénile <>//<>""

Soit le bienvenue,

Je te souhaite de passer d'agréable rp ici même.

Superbe fiche, petit nouveau ! Soit le bienvenu ! ^^

J'aime beaucoup ton style d'écriture, tu vas te faire pleins d'amis sur le forum ! Au plaisir de te recroiser plus tard avec ce personnage ou un autre

Désolée de ne répondre que maintenant, ais j'étais dans la pagaille des oraux blancs, so j'ai du faire passer le net en second plan T.T

Merci tout le monde pour cet accueil<3

[Haha, Gilbert vit en moi, c'mon cosplay pour la Japan Expo!! ORE-SAMA VAINCRA!! Mwahaha! *OUT*]