Une clandestine à l'avenir inquiétant [Libre]

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J'espère avoir posté au bon endroit, étant donné que la suite de l'action devrait se situer dans les parages.
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La nuit commençait à tomber, et le ciel était dégagé. La lune se tenait là comme pour se moquer du soleil qui s'en allait se coucher. Quelques étoiles brillaient pour faire naître, encore une fois, la magie de la nuit.
La journée d'Anyvie Hasengart a été particulièrement longue. Elle a du travailler pendant une douzaine d'heures d'affilées car le propriétaire de la maison-bateau donnait une réception ce soir là. Quelques invités étaient déjà présents, en beau costume. On les aurait dit sortit du XVIIIème siècle : les femmes portaient de longues robes par dessus un corset très serré, et les hommes portaient des costumes colorés, ainsi qu'une perruque blanche. Anyvie, qui portait des habits de toiles salis par la poussière et la crasse, n'eût pas un seul regard des invités, comme s'ils évitaient de la regarder. Peut-être s'imaginaient-ils qu'elle eût la peste, où une autre quelconque maladie que seuls les pauvres n'ont pas la capacité de soigner.
La clandestine attendait le propriétaire devant la maison-bateau, afin d'être payée pour cette dure journée de travail. Après une dizaine de minutes, il finit par arriver. Il portait lui aussi une perruque blanche, et un costume alliant le jaune et le bleu, par dessus une chemise blanche. A ses pieds, il avait de grandes bottes de cuir peintes en jaune. Il donna une enveloppe à Anyvie et se retournait déjà pour rejoindre ses invités. Elle ouvra l'enveloppe, et n'y trouva qu'une petite somme, loin d'être suffisante pour la charge de travail qu'elle a enduré. Elle lui cria alors :
"Excusez-moi, j'ai passé une journée entière pour tout nettoyer. Je pense mériter un meilleur salaire.
- C'est tout ce que je te donne aujourd'hui. Si ca ne te suffit pas, tu peux toujours trouver un autre employeur." avait-il répondu sans même se retourner.

Folle de rage, elle était effectivement décidée à trouver un autre travail. Tout en grommelant sur le chemin, elle rentra chez elle. Elle s'engagea dans une impasse, alla tout au fond, et passa dans un petit coche dans le mur de gauche. Il y avaient plusieurs cabanes situées ici. Sa maison était un taudis : Le bois de la cabane était humide et infesté de termites, le toit était troué de part et d'autre, et la porte d'entrée ne fermait plus. Pourtant, elle devait payer cher pour ce logement, car le propriétaire demandait également un supplément pour héberger un clandestin. En contrepartie, le propriétaire avait promis de ne pas la dénoncer aux autorités, ce qui lui permettait de pouvoir rester sur l'île sans devenir un esclave.
Pourtant, ce soir là, il y avait une grande agitation dans le quartier. On pouvait entendre de grands bruits, et des cris. Anyvie regarda discrètement par une fente dans le bois, et vit une patrouille embarquer un des voisins dans un véhicule. Le bidonville semblait avoir été donné aux autorités ! Ne voulant pas se faire prendre, elle décida de s'enfuir de chez elle, au moins pour ce soir. Après avoir trouvé un moment où la patrouille était occupée, elle sorta de chez elle et courra pour sortir du bidonville. Arrivée dans l'impasse, elle continua de courir pour en sortir, lorsqu'un garde situé à la sortie l'interpella :
"Hé ! Que faîtes vous là ? Approchez vous, que je puisse mieux vous voir !"
Anyvie s'exécuta, et se rendait vers lui, sans courir.
"Montrez moi vos papiers, ma p'tite dame !"
Anyvie fit style de chercher dans ses poches, et sortit un vieu papier qui semblait avoir prit l'eau plusieurs fois. Elle le donna à l'agent, et profita de ce moment pour s'enfuir de l'impasse.
"Hé ! Revenez ici !"
Il s'était engagé pour la suivre, et arrivait à courir aussi vite qu'elle. L'écart entre les deux n'était que de quelques mètres, et Anyvie était fatiguée par sa journée. Elle n'allait pas pouvoir tenir cette cadence pendant longtemps. A force de courir, elle était arrivée au parc. Elle regarda derrière elle : l'agent était toujours là, et continuait de crier. Elle chercha un moyen de se cacher, et aperçu un arbuste. Elle sauta dessus, grimpa au sommet, et profita de la proximité d'autres arbres aux alentours pour sauter de branche en branche. L'agent était resté au sol, et ordonnait à la clandestine de redescendre. Il avait sorti son arme et son ton était menaçant. D'arbre en arbre, Anyvie pensait s'être suffisamment éloignée du garde. Après avoir vérifié qu'il n'était pas au même niveau, elle descendît, et reprît sa course.
Il lui fallait maintenant trouver un abri pour la nuit. Arrivée derrière le parc, elle vit un grand et beau bâtiment. Elle en fit le tour pour en trouver l'entrée. Au dessus de la porte, on pouvait y lire "Dojo Tsuyosa". Espérant que le bâtiment ne soit pas désert, malgré l'heure tardive, elle tapa comme une folle à la porte.


[hors rp]
J'accepte tout avis et toute critique par MP, afin de pouvoir m'améliorer.
La suite du RP sera libre, mais je pense qu'Hifumi devrait être la première à répondre, si elle se trouve au dojo.
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[Hors rp]
juste pour information ... hifumi vie au dojo donc c'est logique qu'elle y soit ... enfin c'est un détail ça n'es pas ^^
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Hifumi venais de passer une de ces journée ou on se dit du début à la fin que l'on aurait mieux fait de ne pas se lever. Sa journée avait commencé, comme tous les jours par un entrainement matinal qui avait du couper cours puisqu'une pluie s'était abattu sur elle, elle enchaina avec un nouveau disciple incapable de tenir plus de 3 minutes debout en face d'un novice ... ce qui a pour habitude de l'énerve, mal grès la forte pluie elle avait décidé de faire un tour dehors pour se calmer, mais comme ce n'était pas sa journée, tous les magasins ou elle voulait aller été fermer. Elle décida alors d'allé boire un truc dans un bar, ou elle se fit voler son parapluie ... la poisse continue ... elle rentra donc au dojo sous la pluie. Tremper jusqu'au os elle ne rêver plus que de prendre une
bonne douche, mais le destin en avait décidé autrement... une bataille avait était lancer au milieu de la cour du dojo ... (quel idée par cette pluie) elle fut donc obliger de la stopper, ce qui lui valu la réouverture de deux de ses blessures. Suite a cela elle fut dans l'obligation de virer momentanément les 2 protagonistes qui se trouvaient être les deux meilleurs élèves qualifier pour les prochains tournois ... et tout ceci en une matinée, son après midi fut plus calme... la pluie avait cessé.

Lasse de sa journée plus que chaotique, elle leva la tête, on pouvait y voir clairement le ciel sombre parsemé de petite tache dorée, elle était vêtue de son uniforme scolaire (c'est tout ce qui lui restais comme vêtement intacte et propre) mal grès le temps frais. Elle s'allongea sur le gazon vert, il était encore humide et frai, elle admirais la lune dans la cour du dojo, cela était relaxant, le seul bruit que l'on pouvait entendre était le raisonnement des entrainements des élèves puni... mais comme le dit le proverbe, après le calme vient la tempête... un bruit assourdissant retenti , Hifumi fut sorti brusquement de son état de somnolence , le bruit se fit de nouveau entendre ... Pas vraiment en état de lucidité total, elle parti en grommelant à la recherche de la cause de ce vacarme, qui la déranger au plus haut point .


Son enquête la mena jusqu'au portail du dojo... Elle se demandait qui pouvait faire autant de bruit à la porte du dojo à cette heure là. Sans vraiment réfléchir a la réponse, elle ouvrit la porte, et a ça plus grande surprise elle vu que la personne qui était coupable de sa mauvaise humeur n'était autre qu'une jeune fille affolait.

Elle resta un peut bête sur le coup lorsqu'elle entendit des voix grave interpelant la jeune demoiselle. Ce devait être une clandestine... Hifumi ne savait trop quoi faire, ce n'était pas dans ces habitude de laisser une jeune fille sans défense aux mains d’ennemi, mais cette fois ci les ennemi étaient tout de même représentant de l'ordre... Elle se décala pour laisser un petit passage d'entrée et d'un ton calme et détendu elle lui susurra:

"entrez immédiatement et cachez vous derrière le portail, je m'occupe du reste"

Elle reprit ça place a l'entrée après l'avoir laissé passé, se retrouvant ainsi face au représentant de la loi.

" Excusez nous Mademoiselle Phantomhive, mais nous recherchons une fugitive...
Et ils sembleraient que le seul endroit ou elle aurait pu se cacher est ici ...
Nous sommes vraiment désolé de vous demander cela, mais pouvez vous nous lassez entrée?"

Ne laissant rien paraitre elle déclara sur un ton vraiment outré:

" Je trouve que les agents de police de nos jours sont bien impolis. Dans cet établissement tout ce qu'il y a actuellement c'est mes disciples indiscipliné en plaine punition et ma mauvaise humeur... Mais, si cela vous chante, je vous laisse faire, tant que vous assumez toutes les conséquences, mes chers"

Les agents s'excusèrent et lui dirent qu'ils n'avaient aucun doute sur ce qu'elle venait de dire et lui
souhaitèrent une bonne nuit... Les regardant partir, elle dit a la jeune fugitive:


"je ne sais pas ce que vous avez fait, mais je vous propose de partir une fois qu'ils auront abandonné les recherches dans les environs"

Elle referma la porte, et fit mine de partir quand son ami Jun l'interpela... il était sur le mur du dojo et avait observait toute la scène.

[Jun va répondre a la suite]

Jun qui aujourd'hui pour une fois n'était pas trop occuper par son entreprise avais décidé de venir rendre visite a son amie Hifumi pour prendre de ses nouvelle et discuter un peu .C'est en arrivant vers le dojo qu'il avait entendu de nombreux bruit suspect et de loin il pensait que sa ressembler a un chasse a l homme ou au vampire ...Sans trop se soucier de ca puisqu'il se savait hors de danger il continua de se diriger vers le Dojo Tsuyosa. Pour que la surprise soit parfaite il décida de ne pas passez par la porte et sauta d'un seul bon élancer sur le mur de l'enceinte du dojo. C’est alors qu'il eu une vision global de la situation du quartier Il aperçut donc de nombreuse force de l'ordre qui couraient les rues semblant chercher quelque chose ou quelqu'un c'est alors que Jun aperçu une jeune fille qui avait pour lui tout l'air d'être l'objet de cette recherche. C’est alors que la fugitive pris la direction du dojo et frappa a la porte, Jun laissa échapper :

"Hum tiens sa peu être assez amusant de voir le fin mot de l'histoire..."

Il s'installa confortablement assis sur le mur et commença à observer. La pauvre fugitive était entrain de taper sur la porte et pourtant personne ne se montrai Jun se dis:

"Bizarre que peu bien faire Hifumi a cette heure la. J'espère qu'elle n'est pas sortie ca rendrait la chose beaucoup moins intéressante."

C’est alors qu'Hifumi arriva Jun fut étonner lorsqu'il la vit accueillir la fugitive a l'intérieur de l'enceinte du dojo. C’est alors que les forces de l'ordre s'approchèrent du dojo Jun rigolait déjà intérieurement pensant au diverse façon dont Hifumi pouvait gérer cette situation. Comme prévue Hifumi envoya balader les Policiers avec son élégance et son efficacité habituelle et la fugitive était hors de danger bien cacher par le mur de l'enceinte.
C'est a ce moment la qu'Hifumi aperçut Jun. Il eu alors une idée histoire de se détendre un peut et de rigoler. Jun regarda Hifumi droit dans les yeux lui fit un clin d'œil et mis son index sur sa bouche lui faisant signe de se taire. Jun se déplaça alors rapidement et sans aucun bruit le long du mur il sauta alors en bas et saisi les deux bras de la fugitive et la plaqua par terre puis dit :

"Inspecteur en mission spécial. Alors mademoiselle Phantomhive on cache des clandestins dans votre Dojo. Vous savez que ca peu être considéré comme une obstruction a la justice ?"

Tout en tenant la fugitive plaquer au sol Jun continua de la tenir d'une seul main se retourna vers Hifumi lui fit un sourire et continua :

" Alors avez-vous une explication valable pour cette situation désastreuse pour votre avenir ? Et allez vous me laisser emmener ce suspect tranquillement ou compter vous vous opposer a la justice ?"

Se retournant vers sa prisonnière il la releva Jun s'amusait beaucoup à la menacer il lui lança sur un ton sec :

"Et vous rien à dire ?"