Ecrire pour vivre, vivre pour écrire

Puisque l'écriture est une forme de l'art, je vous propose un peu de lecture avec un roman que j'écris en ce moment du nom de "Fugitive".

• Titre : Fugitive

• Genre : Fantastique

• Personnages Principaux :
~ Artémis Prinzessin Safeguard : Elle est le personnage clé de l'histoire. Elle arbore une longue chevelure de jais délicatement bouclée contrastant avec sa peau légèrement pâle. Ses yeux couleur émeraude sont très visible et mettent beaucoup son visage en valeur, ses lèvres et son nez fin. Cependant, elle est une jeune fille assez naïve. Artémis est l'archétype même du personnage innocent et naïf. Malgré tout, il y a beaucoup de mystère qui plane autour d'elle, notamment, pourquoi les vampires s'intéressent-ils à elle ? Pour avoir réponse à cette question, il va falloir lire jusqu'au bout

. Ah oui, elle a 17 ans, mesure dans les environs de un mètre soixante-dix et pèse à peu près cinquante-quatre kilos.
~ Sora Duteous Von Healheart : Il est un vampire de classe noble à la chevelure blond châtain et des yeux bleus limpide. Les traits de son visage son fins et délicats. Au niveau de son caractère, il est très protecteur, surtout envers Artémis. Il dit que c'est simplement parce qu'il en a reçus l'ordre de son Maître mais c'est juste pour se trouver une excuse. Doux, il est rarement violent, sauf peut-être avec Fiel Lugd, mais il l'avait bien cherché. Il est qualifié comme un chien du Maître de la Nuit, mais dans un sens, c'est assez vrai. Il mesure approximativement un mètre quatre-vingt pour soixante-huit kilos, quant à son âge, il a cent quarante-sept ans, mais pour les humains, cela équivaudrait à dis-neuf ans.
~ Le « Maître de la Nuit » : C'est un personnage assez énigmatique. On ne connait pas avec précision son âge, son nom, ou encore à quoi il peut bien ressembler. Il est toujours tapis dans l'ombre, et garde secrète sa véritable identité. Seule une poignée de vampires sont au courant, et ils se comptent sur les doigts d'une seule main. Il est très mystérieux, et gouverne le peuple des vampires depuis de nombreuses centaines d'années. Mais il semble cacher quelque chose de lourd...

• Résumé : Dans un monde portant le nom de Jalia, la vie est bien différente. Dans l'ombre, les vampires dominent cet univers, et les humains ne peuvent que se soumettre. Beaucoup de pays ont disparut avec les années, les langues aussi, il n'en reste que quelques vestiges sauvés par l'origine des noms. Ce n'est plus seulement une planète bleue, mais aussi une planète verte. Les ruines d'anciennes villes ont été envahis par les forêts vierges. Les trois quart des terres habitables sont recouvertes de verdure. Trône aux milieux de certaines zones épargnées des villes humaines, où leur habitant résiste encore à l'oppression des vampires. La forêt, c'est leur domaine, parcourut d'innombrable clairières. Quelque part, le Maître de la Nuit attend. Il attend la venue d'une jeune fille particulière, une « humaine ». Il usera de tous les moyens pour se l'approprier, même les plus sanguinaires. Mais tout ne se passera pas comme il l'avait prévu...

Pour l'instant, je vous laisse sur ces informations,. Après si ça intéresse, je posterais bout par bout cette histoire. x)

°°
Moi je veut ! Moi je veut ! = D
Ca a l'air biien. ^__^
Alors Zarvanounette tu est fortement solicitée pour continuer, enfin pour poster cette histoire.
Ca donne trop envie de lire.
Graphiste-écrivain. T'es variée. X)

Académicien Nombre de messages : 101 Age : 33 Date d'inscription : 30/05/2009

(\__/)
(°.°)
(O O)
(")_(")

Votre histoire m'a l'air alléchante ,
Ange se fera une joie de lire la suite...

(\__/)
(°.°)
(O O)
(")_(")

Notre chère Princesse sauvage est polyvalente ^^
et en plus elle est super douer dans tout ce qu'elle fait ...
je serais ravie de lire la suite ^^

Et voilà la partie introductive de Fugitive rien que pour vous x)

Une silhouette sombre courait dans la nuit profonde, elle se faisait fuyante, que pouvait donc-t-elle craindre ainsi ? Bientôt, une nouvelle ombre fit son apparition, celle-ci se déplaçait bien plus vite que la précédente, gravissant des arbres, sautant de branche en branche, aussi légère qu'une plume, sans un bruit, elle franchissait cette forêt sinistre. D'un seul coup, l'ombre vint bondir sur la silhouette fuyarde, et un bruit horrible retentit, un nuage d'oiseaux endormis s'envola sous ce son macabre. On venait de planter violemment quelque chose dans de la chair... Les deux individus s'étaient arrêtés, près l'un de l'autre, ils ne formaient plus qu'une masse noire, vulgairement éclairée par la lueur faible de la Lune rouge sang. Un corps tomba bientôt lourdement sur le sol terreux du chemin de cette forêt sombre, une ombre s'en alla alors. Il ne resta bientôt plus qu'une masse inerte affalée sur le sol, sans un bruit, sans plus aucun souffle de vie, un corps vidé de son sang...

Artémis, tel est mon nom. Il y a bientôt un mois, j'ai rencontré sur ma route un être mystérieux, une drôle de sensation m'avait envahis quand je l'ai vu pour la première fois. Il m'avait offert un étrange sourire, deux dents acérées sortaient de ses douces lèvres, ses yeux étaient aussi limpide qu'une eau claire, mais ils muèrent en une couleur rouge sang. Je me souviens que ce jour là, je suis devenue orpheline.

Deux corps inertes gisaient là sur le sol, ils avaient été découverts au petit matin, des traces étranges avaient été relevées sur leur cou, deux petits trous, du sang s'y échappait. Une jeune fille avait été découverte dans une chambre tapissée de sang, elle était recroquevillée sur elle-même, sa tête enfouie dans ses jambes, elle tremblait tant qu'elle pouvait, pleurant toutes les larmes de son corps. Elle aussi avait deux trous dans son cou, mais elle était bel et bien vivante. Durant bon nombres de jours, elle avait refusé de parler, les voisins avaient affirmé qu'elle était la fille des deux personnes dont les corps avaient été retrouvés sans vie, son nom était Artémis... Elle avait mit une quinzaine de jours à recouvrer la parole, mais le jour où elle raconta ce qu'il s'était passé, elle tremblait comme une feuille. Elle ne se souvenait pas vraiment de la mort de ses parents, bien que cela soit arrivée sous ses yeux, mais ce dont elle se rappellera toujours, c'est de son entretien avec l'homme qui bouleversa sa vie. Artémis était un peu réticente à l'idée de devoir raconter cela aux gens de son village, ainsi qu'aux enquêteurs, mais ces derniers la menèrent dans une salle isolée, pour un entretien en tête à tête avec un agent, pour mettre en confiance la jeune fille. Celle-ci raconta alors ce qu'elle avait vécu, cette chose qui restera à jamais gravée dans sa mémoire, et ce, pour l'éternité...

super ^^ je veux la suite

muhaha, sanglant. cheers

vive la suite

Bon, voilà la partie 1 & 2 :

Artémis s'était enfermée dans sa chambre, tremblante, elle observait la silhouette qui se dressait devant elle, dans l'encadrement de la porte... Elle avait peur, sous ses yeux, cette ombre sinistre avait vidé de leur sang ses deux parents, et malgré qu'elle ait fermé à clé la porte de sa chambre, elle avait pénétré dans la pièce, enlevant on ne sait comment le verrou. Bien qu'elle fusse terrorisée, elle était tout autant fascinée par la beauté de cet homme. Il possédait deux yeux d'un bleu limpide, une chevelure voguant entre le blond et le châtain clair. A vue d'œil, Artémis aurait dit qu'il devait mesurer dans les un mètre quatre-vingt, elle se sentait petite avec son mètre soixante-dix. Contrairement à l'homme, elle avait de long cheveux sombre qui lui arrivaient jusque dans le bas du dos, délicatement bouclés, et ses yeux étaient couleur émeraude. Elle reculait sans cesse, tandis que la silhouette sombre s'avançait d'un pas vers elle. Bientôt, la jeune fille heurta le mur derrière elle, son dos reposant sur la vitre glacée, alors qu'il avançait toujours dans la chambre. Elle tremblait de plus en plus, la peur s'insinuait doucement dans ses yeux, alors que l'homme affichait un regard de satisfaction relativement inquiétant. Il marchait d'un pas lent, faisant de chaque pas une torture pour Artémis, elle sentait son heure venir, terrifiée à l'idée de mourir, elle ne pouvait s'empêcher de contempler les traits fins du visage de l'homme. Alors qu'elle tenait le rebord de la fenêtre de ses mains, elle essayait de se tasser le plus possible contre le mur, mais il avançait toujours vers elle, et bientôt, la jeune fille pût ressentir son souffle tiède caresser son visage. L'homme approcha sa main délicatement, posant ses doigts sous le menton d'Artémis qui trembla de plus belle, mais qui fut cependant intérieurement surprise de la tiédeur de sa peau. C'est alors qu'elle entendit sa voix, elle était étrangement douce mais en même temps mielleuse.
-As-tu peur de la mort ?
Artémis trembla d'avantage à ces mots, car il était vrai, la mort était la chose à laquelle elle avait le plus peur, elle ne voulait pas mourir, elle ne le voulait pas...
-O-oui...
Artémis n'était qu'une adolescente de dix-sept ans, elle ne voulait pas mourir, et encore moins maintenant. Elle rêvait d'une vie paisible, une vie où elle pourrait être heureuse sans craindre la mort, un univers où elle n'aurait pas à y songer. L'homme avait plongé littéralement son regard dans celui de la jeune fille, et celle-ci avait peur de se noyer dans le bleu tendre de ses yeux. Sa main, ou plutôt le bout de ses doigts, glissait délicatement sur la peau de son cou, la faisant frémir, mais aussi trembler d'avantage. Elle ferma alors violemment les yeux en voyant le visage de l'individu se tourner vers son cou, pour en lécher doucement la peau, le long de sa veine. Elle fut étonner de le sentir se relever, et elle ouvrit lentement les yeux, pour voir ce qui se passait, et Artémis fut terrifiée en voyant les pupilles de l'homme virer au rouge sang. Il lécha doucement ses lèvres, sa bouche délicate dont sortaient à présent deux crocs acérées qui ne demandaient qu'à se planter dans la chair tendre de son cou. Il murmura alors :
-Que dirais-tu de faire un petit marché tout les deux ?
-Qu... Quel genre de marché ?... demanda la jeune fille.
-Je veux bien te laisser en vie à une condition.
Artémis tressaillit en entendant ces paroles, alors ainsi, avait-elle une chance d'échapper à la mort ?... Elle garda cependant un moment le silence, n'osant rien dire, se demandant de tout son être quelle pouvait être cette fameuse condition qui lui attribuerait sa liberté de vivre. Elle tremblait toujours, l'homme était si près de son corps, cela l'a troublée, mais en même temps l'effrayait, se disant qu'il pouvait à tout moment planter ses crocs dans sa chair...
-Quelle est... cette... condition ? Balbutia timidement Artémis;
L'homme la regardait droit dans les yeux, peu à peu, ses yeux écarlates redevinrent de ce bleu clair envoûtant... Il releva doucement la tête d'Artémis en plaçant ses doigts fins sous son menton, la faisant trembler d'avantage, approchant son visage du sien. C'est avec une délicatesse qu'il vint murmurer doucement :
-Si tu me laisses boire ton sang quand bon me semblera, je veux bien épargner ta vie en cet instant présent... Alors, es-tu prête à accepter ou refuseras-tu ?
Artémis tressaillit une nouvelle fois, si elle comprenait bien ce qu'il voulait lui dire, elle devra devenir son « garde-manger » si elle veut rester en vie... Vivre comme une moins que rien ou mourir... Tel était le choix qui s'offrait à elle. La jeune fille détourna la tête, fermant les yeux, les crispant, elle aurait voulut s'enfuir loin d'ici mais elle savait que c'était peine perdu, il ne lui restait donc qu'à choisir entre ces deux options...
-Je... J'accepte...
Artémis vit l'homme afficher un sourire satisfait, rapprochant son visage de son cou, il lécha avec délicatesse toute la longueur de sa veine, lui arrachant de nouveaux tremblements, mais cette fois-ci, il vint planter doucement ses crocs dans la chair tendre de la jeune fille qui grimaça de douleur. Elle entendait avec horreur son sang couler dans la gorge de l'être qui avait mit fin à la vie de ses parents de cette manière. Elle avait repoussé sa tête en arrière, ses mains crispées sur le rebord de la fenêtre froide, son corps qui tremblait toujours, crispait sous cette sensation étrange dans son cou. La jeune fille priait de tout son cœur que l'homme respecte le marché et qu'ainsi il ne la vide pas de son sang, laissant en elle un souffle de vie. Elle sentit alors les crocs de l'individu se retirer avec douceur de sa chair, mais elle ne put éviter d'esquisser un rictus de douleur. Artémis ne tremblait plus vraiment, mais elle frémit quand il vint lécher les marques qu'il lui laissé comme souvenir. Quand il se redressa, comme si de rien n'était, ses crocs n'étaient plus visible, et ses yeux étaient de nouveaux emplis de ce bleu envoûtant. Croiser son regard, c'était se perdre dans un océan immense, se plonger dans le sien, c'était parcourir une immense forêt vierge, et en cet instant, c'est deux éléments rentraient en contact.
-A bientôt, belle demoiselle...

Un mois déjà... J'ai peur au fond de moi, parce que je sais qu'il peut revenir à n'importe quel moment, mais en même temps, je sais que j'ai envie de le revoir, et cela me fait encore plus peur... J'aurais dû m'en rendre compte avant, nous vivons dans un monde où chaque nuit, le risque de mourir est présent, parce que nous, Humains, nous servons de nourriture aux être que nous appelons Vampires, et c'est ainsi depuis longtemps déjà... Je suis si naïve en fin de compte...

Une semaine s'était écoulées pour lui, il savait qu'il aurait dû rejoindre ce lieux le soir même, mais il n'avait put le faire. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il n'arrivait pas à ôter son image de sa tête, c'était pourtant complètement dépourvu de sens, mais en même temps cela ne l'étonné pas, elle possédait des traits si peu comparables, mais surtout, l'odeur, l'odeur de son sang, il était si spécial, si rare, bel et bien une chose qu'il ne pourrait jamais oublier. Malgré tout, à présent, il n'avait pas le choix, il devait s'y rendre, où il pourrait bien le regretter amèrement. C'est ainsi quand ce jour de pleine Lune, cet homme se rendit dans un endroit particulier, une sorte de grande salle, lugubre, uniquement éclairée par la lumière de la nuit à travers une lucarne. Une silhouette était assise sur un genre de trône, tapis dans l'obscurité, ses traits semblaient invisibles.
-Tu viens enfin me voir... Sora.
Tel était le nom que portait le vampire qui venait de faire son entré, il était plus particulier que les autres. De part son physique, il était envoûtant, de par sa fidélité et son obéissance, il était bon serviteur. Pour le Maître de la Nuit, s'était son toutou préféré, c'était à lui qu'il confiait les missions les plus importante, comme celle dont il devait en faire le rapport.
-Les deux humains sont-ils bien morts ?
-Oui Maître. Répondit solennellement Sora après s'être agenouillé face à la silhouette.
-Le marché avec la fille a-t-il bien eu lieu ?
-Oui Maître.
-Bien, tu as fait du bon travail, Sora, comme toujours, j'enverrais un émissaire pour t'avertir lorsque les préparatifs seront terminés et que tu pourras amener la fille jusqu'à nous. En attendant, tu peux user d'elle comme bon te sembleras, mais surtout, ne la tue pas.
-Il en va de soit, Maître, je veillerais sur Mademoiselle Artémis...

La nuit est maîtresse de tout chose en ce monde, ses ténèbres voluptueuses nous engloutissent et pourtant, sa beauté est frappante. Il fait sombre, mais en même temps, la lumière n'y est pas absente, elle est même saisissante. Ses étoiles, elles sont semblables à des milliards de petites ampoules allumées en même temps, et quand cette ampoule grille, l'étoile meurt...

Un plaisir à lire, j'ai hate de connaitre la suite de cette triste histoire

Bah, elle est pas si triste que ça xp enfin vous verrez. Comme j'ai eu une com's, je met la suite :

Part 3 (pas assez de place pour mettre la 4)

Un mois, encore et toujours ce mois... Un long chemin, la nuit tombante, rue déserte, isolée dans la semi-campagne, une parfaite scène pour une petite beuverie nocturne, pensa Artémis. Elle chassa vite cette pensée de sa tête, c'est comme si elle souhaitait être une nouvelle fois victime de ce vampire ! Le chemin sur lequel elle marchait était plus en hauteur que les champs de blé et orge sur les deux côtés, et parfois, par-ci par-là, on pouvait trouver une maison, ou une petite ferme. Tout était calme, silencieux. La jeune fille s'arrêta un instant, regardant le croissant de la Lune argentée, qu'elle était belle... Elle ne pouvait s'empêcher d'admirer la Lune et ses étoiles, elle les trouvait si fascinantes, si belles, si cruelles aussi, d'être ainsi si loin d'eux. Avaient-elles peur ? Mais peur de quoi... De ce qu'est devenu l'humanité, la nature des Hommes ? Si ce n'était pas ça, qu'est-ce donc que leur raison d'être si éloigné... Artémis reprit doucement son chemin, non loin de là, une petite maison était faiblement éclairée, la cheminée encore légèrement fumante, mais elle sursauta soudainement, se retournant vivement, et elle le vit.
Son vampire était là, dressait devant elle, et malgré l'obscurité, Artémis pouvait toujours distinguer ses traits si particulier, le bleu limpide de ses yeux. Il lui souriait doucement, elle se mit à trembler légèrement. Cet homme, Sora, voulut s'avancer d'un pas vers elle, mais celle-ci recula instinctivement. La jeune fille fit un nouveau pas derrière elle, puis un autre un peu plus grand, et finit par se mettre à courir rapidement, son instinct avait primé sur sa raison, et ses jambes la menaient le plus loin possible. Elle se stoppa net en sentant un souffle derrière elle, basculant légèrement en arrière, ses yeux écarquillés, Artémis s'était complètement figée, sentant le souffle du vampire dans son cou. Du coin de l'oeil, elle regarda où elle se trouvait à présent, et vit qu'ils se situaient non loin du petit chemin qui menait à la maisonnette. Sora avait passer ses bras autour du corps de la jeune fille, la retenant contre lui, il vint murmurer avec une étrange délicatesse dans son oreille des mots qui vint faire trembler Artémis :
-Si tu le souhaites, on peut mettre fin au marché, mais dans ce cas...
Il ne finit pas sa phrase, de toute évidence, la jeune fille savait parfaitement où il voulait en venir, c'est pour cela qu'elle tremblait vivement, la peur l'avait envahit une nouvelle fois.
-Non... Non... Je ne veux pas... mourir...
Sa voix se faisait suppliante, sa peur s'y trahissait, toutes ses émotions mise à nues par le simple son qui émanait de ses lèvres... Elle avait envie de pleurer, ses yeux clos, se crispant légèrement, elle repoussait légèrement sa tête en arrière, tandis que l'homme vint répondre :
-Bien, gentille fille...
Avant de planter ses crocs dans le cou de sa victime, qui repoussa d'avantage sa tête en arrière, ses yeux grands ouverts. Bientôt, ces derniers reprirent leur forme originel, finissant même par se laissaient recouvrir par leurs paupières. Artémis avait ses bras le long du corps, retenu par ceux de Sora dans cette position, elle ne pouvait pas fuir, il n'y avait aucun échappatoire. Elle se contentait d'écouter en silence son sang passer de son cou à la gorge de l'homme, ne tremblant plus, elle s'était presque totalement faite à l'idée de servir d'amuse-gueule à ce Vampire. Elle ne trouvait plus ce son aussi horrible de la première fois, malgré que son corps se crispait encore légèrement. C'est alors qu'un cri retentit, brisant le silence de la nuit. Sora venait tout juste de retirer ses crocs de la chair tendre de la jeune fille, et regarda un instant dans la direction d'où provenait le cri : c'était une femme qui venait de sortir de la petite maison et qui avait aperçut leurs silhouettes sur le chemin, éclairées par la Lune vive. L'homme desserra peu à peu son étreinte, et murmura doucement dans l'oreille d'Artémis :
-Passe une bonne nuit, ma petite Princesse Artémis...
La jeune fille écarquilla d'étonnement ses yeux, et se retourna précipitamment, mais il avait déjà disparu dans les ténèbres de la nuit. La femme de tout à l'heure vint accourir près d'elle, tandis qu'elle regardait l'horizon, une question qui envahissait entièrement son esprit et l'embrumait : Comment ce vampire connaissait-il son nom ? Elle trouva cela sur le coup injuste, ce n'était pas équitable, lui connaissait son nom, mais elle ne savait pas comment il se nommait, mais elle se reprit vite, trouvant cette attitude plutôt gamine. Mais tout de même, comment cet homme pouvait-il avoir eu vent de son nom... Machinalement, Artémis porta sa main à sa nuque, couvrant la morsure qui se trouvait là.
-Mademoiselle, vous allez bien ?
Artémis se tourna vers la jeune femme, semblant revenir sur terre, intérieurement, elle faillit la maudire mais elle lui souriait.
-Oui, je vais bien, ne vous en faite pas, je ne pense pas qu'il avait l'intention de me tuer.
-Vous feriez mieux de rentrer chez vous, ce n'est pas sûr de se promener dehors la nuit... Ah, mais vous êtes Artémis ?
Celle-ci acquiesça d'un simple signe de la tête, puis la femme lui dit d'être prudente, et s'en retourna chez elle. La jeune fille resta un petit moment là, regardant l'horizon vers lequel avait disparut le vampire, puis elle se retourna. La rage et de la tristesse l'avait envahit, et à présent, elle courait aussi vite que ses jambes le pouvaient, parcourant à toute vitesse le long sentier, sa main était toujours posée sur son cou. Elle s'arrêta net en arrivant devant le petit portail en bois qui menait à sa maison vide, Là, assis contre le petit muret, un homme se tenait, instinctivement, elle sut que c'était un vampire, Artémis ressentait cette même aura que dégageait de cet homme et de son vampire, mais voilà qu'une autre créature de la nuit arriva, mais sortant de sa maison, et c'était une femme. L'homme s'était tourné vers la jeune fille, celle-ci retira doucement sa main de son cou, la regardant, couverte de sang, puis observa l'intrus, et celui-ci vint déclarer :
-Bienvenue chez vous, Mademoiselle la Princesse.

Je ne comprenais pas ce qui se passait. Que pouvez donc bien faire deux vampires chez moi ? Et c'était quoi cette nouvelle manie de m'appeler « Princesse » ? Ce vampire avec qui j'avais conclut le marché, et puis maintenant lui, mais c'était un vrai bazar qui se trouvait dans ma tête, complètement confuse. Que se passait-il donc chez ces vampires ?

Vivement la part 4 gn'ai envie de savoir la suiteee

*Un peu deçus d'avoir peu de commentaire*

Rien que pour toi Teru-chou, je met ici la partie 4 :

Sora semblait fou de rage, il eut envie de tuer cette femme, mais ne voulait pas effrayer sa demoiselle en même temps. Il avait sortit ses longues griffes, et pour se défouler, il décapitait les arbres d'une forêt dans laquelle il s'était réfugié. Peu à peu, il retrouva ses esprits, enfin calmé, ou presque, il se mordit le dessus de sa main, puis laissa le sang couler au sol, et la morsure se refermer rapidement. Au loin, il arrivait à percevoir l'odeur du sang d'Artémis, reconnaissable d'entre tous, mais il avait un mauvais pressentiment... La colère faillit l'envahir de nouveau en songeant à cette humaine qui avait interféré dans les plans de sa soirée. Le vampire avait eu en tête de passer une douce nuit en compagnie de sa tendre protégée, se délecter plus longtemps de son odeur particulièrement enivrante, son sang si doux couler dans sa gorge... Un aura puissante vint soudainement briser le calme ambiant, et dans la seconde qui suivit, Sora se précipita vers l'épicentre. Bientôt, il se retrouvait à la cime d'un sapin, dans un jardin plutôt spacieux, et au sol, trois silhouettes se profilèrent, dont une qu'il savait qui c'était. Il connaissait aussi cette maison, bien qu'il n'y avait réellement pénétré qu'une seule fois. Des souvenirs commencèrent à l'envahir tandis que Sora regardait la porte de l'entrée.
Sa mission en tête, il se trouvait devant la porte d'une maison dont il avait prit l'habitude d'espionner. Aujourd'hui, il était tant de mettre le plan à exécution, son objectif était tout simple : Tuer les deux adultes, et passer un marché avec la fille pour être certain qu'elle reste toujours à leur disposition. Ensuite, une fois cette mission achevée, il devrait se replier en attendant le moment venus, tout en surveillant la fille pour voir si elle restait bien soumise à sa volonté. Une mission toute simple, achevée en une nuit, rien de plus, après quoi, il devra aller faire son rapport. Pour le moment, le vampire entra dans l'habitation, sans un bruit, il se faufila dans le salon, attentif, tous ses sens en éveils. Telle une ombre, il n'eut aucun mal à se glisser derrière le canapé où était assises ses deux futur victimes, il planta ses crocs acérés dans le cou de l'homme, et avant que qui que ce soit n'ai put réagir, il s'effondra, vidé de tout son sang. La jeune fille qui l'intéressait se trouvait dans l'embrasure d'une porte, le regard emplis de terreur tandis qu'il plantait à présent ses longues dents dans le cou de la femme, jusqu'à ce qu'il ne reste plus un souffle de vie en elle. En relevant la tête, le vampire remarqua que sa proie finale avait disparu dans le long couloir. Guidé par l'odeur spéciale qu'elle dégageait, il n'eut aucun mal à savoir dans quelle pièce la jeune fille s'était réfugiée. Malgré le verrou, par un tour de passe-passe tout simple à son goût, il finit par ouvrir la porte de la chambre, et restant en son encadrement, observant la silhouette fine de l'intéressée. Celle-ci tremblotait, s'approchant d'elle, il voyait sa méfiance, la terreur se lisait dans son regard. A présent, il approchait de son but final, et pour sa plus grande satisfaction, la jeune demoiselle accepta de conclure ce marché, qui signifiait le départ d'un projet d'envergure pour toute la population des vampires, et plus particulièrement pour le Maître de la Nuit, son Maître...
Sora revint subitement sur terre, ou plutôt, perché sur son arbre. Il reporta son attention sur les silhouettes qui se profilaient sur la sol, attentif aux deux qui lui étaient inconnu, surveillant le moindre de leurs faits et gestes. Au moindre faux pas de leur part, il foncerait sur eux, et s'interposerait, veillant sur la protégée de son Maître. Si jamais elle disparaissait, tout serait à recommencer depuis le début, et sans doute faudra-t-il attendre encore un millénaire avant qu'une occasion comme celle-ci se représente.
Soudainement, le vampire voulut réagir en voyant une masse s'avancer un peu plus vers la jeune fille, tendant une main vers elle, mais la clé du nom de Artémis recula d'un pas. Inconsciemment, et ne sachant comment, Sora sembla percevoir plus ou moins nettement les pensées de sa demoiselle, celle-ci se demandant si c'était l'odeur de son sang frais qui les avait attiré. Il ne comprenait pas comment il avait put ressentir cela, mais ce qu'il pouvait se dire, c'est que ces deux vampires n'étaient pas là dans le simple fait qu'ils avaient sentis l'odeur enivrante de son sang. De son arbre, il sentit le corps de la jeune fille frémit quand la première silhouette vint toucher sa main porteuse de sang, la prenant dans la sienne, l'homme lui fit ouvrir son poing, pour par la suite observer longuement le sang envoûtant. Le regard de cet individu et celui de sa protégée se croisèrent bientôt, et elle dût se poser intérieurement une question qui se lisait dans son regard car la masse corpulente vint engager la conversation.
-Ma peau est froide n'est-ce pas ?... Ça te change de ton petit vampire au sang tiède.
Il jeta alors un regard en biais vers l'arbre où se trouvait Sora, et celui-ci sentit ses yeux sur lui, tss, il avait envie de lui régler son compte, mais préférait quand même rester tapis dans l'ombre pour le moment.
-Vois-tu, il existe deux sortes de vampires : ceux au corps similaire à celui d'un humain, c'est-à-dire qu'il dégage de la chaleur, et ceux comme nous qui possèdent un corps de glace. C'est tout de même injuste quand on pense que si notre corps est aussi froid, c'est parce que l'un de nos ancêtres aurait désobéis au petit Conseil chéris de ces petits Vampires dociles. C'est étonnant comme cette froideur est héréditaire, hein ? Ma pauvre petite, je te plains d'avance quand je pense à ce qu'il vont faire de toi...
-Que... que voulez-vous dire ? Répondit Artémis en reculant d'un pas.
-Fiel ! Ca suffit. Dit soudainement la femme derrière.
-Oh aller quoi Anele, j'ai bien l'droit de m'amuser un peu. Vint rétorquer le fameux Fiel.
Celui-ci vint jeter un regard discret derrière-lui, Sora croisant ses yeux plongeaient dans le sien, une envie de meurtre l'envahit, mais il devait se contrôler, résister. Plus facile à dire qu'à faire. Il se contenta donc difficilement d'observer ce Fiel, serrant les poings quand il vint lécher le sang sur la paume de la main d'Artémis.
-Ton petit vampire ne t'as donc rien dit, Princesse, que c'est navrant, je paris qu'il ne t'as même pas donné son nom. Repris Fiel en relevant la tête.
Fiel jetait toujours son regard derrière lui, observant le plus discrètement possible le vampire perché sur son arbre qui scrutait des yeux la scène. Il vint sans tarder se pencher à l'oreille de Artémis, couvrant d'une main, il murmura des mots qu'eux seuls purent entendre, et qui laissèrent la jeune fille avec de grands yeux ronds, prit sous un choc inexplicable, elle ne bougeait plus, sentant bientôt le souffle de Fiel caresser la peau de son cou, Sora bougea un instant, mais se retint de de toute action qui pourrait se révéler regrettable par la suite. Il savait que ce vampire cherchait à le provoquer en se jouant de sa protégée, enfin, de la jeune fille dont il avait pour mission de protéger, sous les ordres de son Maître. Il attendait un signe, un geste, une action de ce Fiel pour agir, ce qui ne tarda pas à arriver. Artémis semblait complètement tétanisée, incapable de bouger, ne dire quoique ce soit, le vampire penchait à son cou, derrière, sa compagne, Anele, voulut intervenir quand elle vit Fiel sortir ses crocs pour se délecter du sang particulier de la jeune fille, mais Sora fut plus rapide.
A l'instant même où il vit la lueur à ses lèvres, si proche de la peau de Artémis, il avait bondit de l'arbre, et le vampire le sentit bien assez tôt, un air de satisfaction s'affichant sur son visage, il attrapa la chevelure sombre de la jeune fille et planta vivement ses crocs dans sa chair, lui arrachant un violent rictus de douleur, si ce n'est un léger cri. Sora bouillonnait de colère et d'un revers de la main, il frappa sauvagement le cou du vampire, l'envoyant valser à quelques mètres de là, tandis que Artémis poussa gémissement dut à la violence de l'extraction des crocs du suceur de sang de sa chair. Celle-ci se laissa tomber à terre, portant une main à son cou qui saignait considérablement, mais Sora, en bon sauveur, s'approcha d'elle, lui rabaissant son bras, examinant la plaie, il vint la lécher, et peu après, tout saignement s'arrêta. La jeune fille ne bougeait plus, tandis qu'il se relevait, le vampire s'intercala entre elle et les deux autres, observant Fiel se redresser difficilement, pour marcher tranquillement vers lui. D'un revers de la manche, il vint essuyer du sang qui perlait du coin de sa bouche, son regard traduisant une immense satisfaction, Sora restait sur ses gardes, prêt à se battre s'il s'en avérait nécessaire.
-Allons allons, détends-toi noble vampire, je n'ai pas l'intention de me battre avec toi, l'issu d'un combat entre nous m'apparait clair pourtant. Dit soudainement Fiel.
-Je ne permettrais pas qu'un vampire de ton rang puisse se permettre de toucher à Mademoiselle Artémis. Répondit Sora.
-Je voulais juste un peu gouter son sang, je ne l'aurais certainement pas tué, je sais ô combien elle est précieuse pour ton cher « Maître », Monsieur le Noble.
Sora conservait fermement sa position, derrière lui, Artémis s'était relevée, et semblait complètement désemparée quand à ce qu'il se passait sous ses yeux émeraudes. Cette fois-ci, elle l'avait reconnus, il sentait qu'elle voulut dire quelque chose, mais les mots restaient coincés dans sa gorge, refusant obstinément de sortir, de plus, le vampire n'avait aucunement l'envie de lui expliquer quoi que ce soit, il n'était pas là pour cela. S'il se dressait à présent entre Fiel et Artémis, s'était uniquement dut à la grande valeur de celle-ci aux yeux de son Maître, mais aussi que sa mission incluait ce genre de situations. Ainsi Sora ne faisait-il que répondre aux désirs de son unique Maître : protéger Mademoiselle Artémis de sa vie s'il le fallait. Le vampire avait bien l'intention de mener sa précieuse mission jusqu'au bout, bien qu'en soit, veiller sur une humaine n'était pas une chose que son espèce pouvait envisager facilement. Malgré tout, il se devait de le faire, il ne vivait que pour Lui obéir, s'en jamais défaillir, répondant à tout ses souhaits.
Sora prêtait une grande attention aux moindre faits et gestes de Fiel, celui-ci avançant toujours vers lui, l'autre vampire en retrait n'osait plus rien dire, résignée, comme si elle pensait dès lors qu'il était impossible de stopper son compagnon tel qu'il était partit. Pourtant, lui, ne fléchirait pas, il lui tiendrait tête pour protéger Artémis. Finalement, Fiel s'arrêta net, à deux ou trois mettre de sa position, il plongeait ses yeux devenus couleur sang dans ceux limpide de Sora, ne semblant pas déstabilisé le moindre du monde, lui faisant face, il ne bougerait pas.
-On se demande qui sont les plus lamentables en ce monde, nous ou vous ? Commença Fiel. Vous avez beau nous avoir « exclus » de la société des vampires par le passé, vous ne vous gênez pas pour manipuler une pauvre humaine pour assouvir vos sombre desseins, « pour les vampires » comme vous dites.
-La ferme ! Tu ne sais rien du tout sur les intentions de mon Maître. S'emporta Sora, qui sous le poids de la colère avait ses crocs de sortis et ses yeux couleur rubis.
-C'est que le petit chien serait capable de me mordre, Sora Duteous Von Healheart, l'exécutant de Messire le Maître des Vampires.
-So... Sora ?... Dit timidement Artémis derrière celui-ci.
-Mon prénom, répondit-il à la jeune fille sans se retourner.
-La lignée Healheart... De bon et loyaux serviteurs de notre soit disant « Maître », quel nom prétentieux tout de même, Heal... Heart... futile, ne trouves-tu pas ? On se demande où ils sont allé chercher un nom pareil, franchement, surtout pour des vampires, ça semble plutôt jouer à de l'ironie tout ça. Enfin, je ne peux pas vraiment me permettre de juger, n'est-ce pas ? Moi, Fiel Lugd Wildgraf Mighty. C'est sans doute ce nom qui a conduit mes ancêtres à leur perte, enfin, ce n'est pas vraiment de leur faute si le « Maître » ne comprenait pas leurs ambitions... Anele ?
-Oui ? Demanda la jeune femme en s'approchant de son compagnon.
-Est-ce que tout est prêt ? Lui répondit Fiel.
-Oui, tout est en place et opérationnel.
-Que comptez-vous faire ? Rugit littéralement Sora.
-Oh, rien de bien méchant, tu t'en rendras vite compte, sur ce, il nous faut nous retirer. Ah, une dernière chose, le sang de ta demoiselle est exquis. Rajouta Fiel.
Sora voulut en cet instant même lui trancher la gorge, mais en un éclair, les deux vampires avaient disparus dans la nuit, sans laisser de trace. Bien sûr, il aurait put partir à leur poursuite en suivant leurs odeurs, mais sa priorité était de veiller sur le bien de Artémis. Reprenant peu à peu son calme, il finit par se retourner vers elle et tenta d'esquisser sur son visage un doux sourire, ses crocs n'étaient plus visible, et ses yeux avaient reprit leur couleur originel. Malgré qu'il sentait que la jeune fille mourrait d'envie de lui poser une multitude de questions, il ignora son regard, ne dit rien, le vampire ne voulait ou ne pouvait lui donner la moindre information, la moindre réponse.

Nous autres vampires, préférons porter le nom de Reinheit, mais à force que les humains nous nommes « vampires » et avec le temps, nous avons perdu ce nom qui faisait notre fierté. Il s'est effacé petit à petit, jusqu'à tomber les profondeurs interminables du Temps. La nuit demeure cependant notre Royaume, et jamais personne ne nous le prendra.

j'aime écrire, mais écrire une histoire longue m'a toujours fait défauts je passe trop rapidement à autre choses...
Mais je viens de lire ce que tu as fait et je trouve vraiment ça génial :3
Je te félicite par le travail fourni ainsi que pour la qualité et le style de ce que tu écris...
Chapeau bas Smile

Je suis du même avis que Henryette xD c'est pas moi qui serais capable de trouver une histoire comme ça. . .

» Pour nous lier
» Musique (Zik-mu pour les djeuns *sort*)
» Truc pour passer le temps. xD
» Découverte pour nôtre petit ange (pv Hifumi)